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Parce que la vie ne suffit pas

Parce que la vie ne suffit pas

Nathalie LONGEVIAL

Après avoir essayé de terminer un roman, alors que ce qu'elle écrit le mieux ce sont des quatrièmes de couverture, format un peu court quand in veut devenir écrivain, Marie, 48 ans et quelques, décide d'arrêter d'écrire, persuadée que sa vie parfaite et néanmoins banale ne lui permet pas le faire. Son mari lui offre un séjour en résidence d'auteurs à l'occasion de son non-anniversaire où elle accepte de se rendre, un peu comme un baroud d'honneur.

Là-bas, elle se trouve confrontée à tous ses démons : les autres stagiaires n'écrivent-ils pas mieux qu'elle, son histoire présente t-elle un intérêt pour quelqu'un, écrire s'apprend-il et puis, à presque 50 ans, a t-on encore le droit de changer de vie ? La rumeur qui court selon laquelle la résidence est un centre de désintoxication pour écrivains compulsifs ne l'aide pas davantage à mener son objectif à bien. Mais, parce que le vie ne suffit pas, heureusement qu'il reste ses rêves.

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Éditeur : Librinova Langue : français
Genre : Littérature Sortie : 11 mai 2018
Sous-genre : Roman

Disponible chez :

Biographie

Nathalie LONGEVIAL

Je suis née dans une ville où l’on fabrique du jambon et j’habite aujourd’hui dans une autre ville que l’on connait à cause du jambon. De là à dire que je suis un « gens bon » il n’y a qu’un pas, que je franchis allègrement.

Je déteste les chaînes « genre fais suivre, sinon ta mère, ton fils et ton chat vont mourir ». Sachez que personne n’est jamais mort de la sorte. Un doute m’assaille : tous nos chats disparus, ça viendrait de ça ?

Je mets toujours 2 r à mourir parce que mourir avec 2 r c’est pire.

Je prends 2 cafés au petit déjeuner

Je respire les gens que j’aime comme pour les avaler tout entier. Si je trouvais le moyen, je mettrai leur odeur en bocal pour les respirer quand ils ne sont pas là.

J’ai appris à sourire et c’est aujourd’hui mon arme de destruction massive. Tout le monde le sait, mais je m’en fous.

J’adore inventer des mots : mercrediser, encolérer, horrorifié, filrouger, je n’ai jamais celui qui convient parfaitement à la situation.

Je sais qu’il est tout à fait possible de se reaimer (vous auriez préféré s’aimer à nouveau?)

Apparemment, j'ai un problème avec la nostalgie, le temps qui passe et tout le toutim, parfois, c'est un problème.

J’aime bien danser dans la cuisine et cuisiner aussi. Même si ce n’est pas dans la cuisine.

Dans ma vie j’ai rencontré plein de gens formidables : des fées clochettes, des sirènes, des Peter Pan, des bébés licornes, des maîtres Yoda. Il y en a même qui habitent chez moi.

Et puis, j'écris.

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